Made in Bangladesh
- VO
Léa, Adrien, et leur petit frère Théo, sourd de naissance, partent en vacances en Provence chez leur grand-père qu'ils n'ont jamais rencontré à cause d'une brouille familiale. En moins de 24 heures, c'est le clash des générations !
Une envie d’horizons vastes, de liberté, de célébrer la vie. D’un film solaire. Et de parler de la seule chose qui console de vieillir : les liens qui durent. Qu’ils soient familiaux ou d’amitié.
Après l'intense drame historique La Rafle (2010), Rose Bosch s'attaque à la comédie familiale avec Avis de mistral.
Il y a un peu de mon père dans Paul. Ce n’était pas quelqu’un de bavard. Il n’était pas rustre, il était pudique. Dans le film, les silences du personnage sont importants. Toute la jeunesse de Paul s’est faite dans le chaos, le bruit, la fureur et le drame. ll essaie de panser cette époque de sa vie en se cachant, en allant dans ce coin où il pense que l’olivier va lui donner du baume au coeur. L’arbre lui redonne un rythme, un esprit, un but. Dans ce mas isolé de tout, il s’est reconstruit un personnage à des années-lumière du chaos qu’était sa vie.
Une belle comédie sentimentale sur fond de Provence et d'échanges entre générations.
C'est un joli film, mais c'est surtout un cinéma comme on n'ose plus trop en faire parce que supposé ringard ou trop provincial : on a tort ! Dans la peau du papet, un Jean Reno formidable.
On rit parfois, on sourit, on pleure même un peu… Un agréable moment en somme. Avis de Mistral reste sympathique et grandement servi par le juste jeu d'un Jean Reno qu’on a plaisir à voir dans un registre plus léger.
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