Monkey Man
- VF
- VO
Réalisé par Dror Zahavi
Eduard Sporck, chef d'orchestre de renommée mondiale, accepte de fonder un orchestre de jeunes israélo-palestiniens. Il est rapidement confronté à des jeunes musiciens qui ont grandi dans un état de guerre et de répression... et loin d'être en harmonie… Coup de cœur des exploitants à Dinard. Prix du public, festival de San Diego.
Le film est parfois naïf dans son engagement pour la paix par l’art et l’art pour la paix, mais beaucoup moins dans son traitement, qui souligne les difficultés d’une génération sacrifiée, entravée par une histoire qui l’engloutit et les tracas humiliants du quotidien. Le film tient vaillamment le cap de son message de tolérance.
Ce film sur la tolérance et les vertus de l’art enfonce des portes ouvertes, mais le fait plutôt bien. Mettant en scène une jeunesse marquée par un douloureux héritage, le réalisateur israélien montre au détour de quelques séquences fortes la haine profonde qui divise les deux communautés. Son récit a aussi le bon goût d’éviter le happy end trop évident.
Peter Simonischek (Toni Erdmann) ne manque pas de charisme.
C'est une fiction humaniste qui mêle habilement l'histoire et la politique à la musique classique.
Un film touché par la grâce qui contourne les pièges du didactisme et bouleverse.
Réinitialiser votre mot de passe à l’aide de l’adresse e-mail associée à votre compte.
Veuillez saisir l'email que vous souhaitez désinscrire.
ou s’inscrire par Email
En créant un compte, vous confirmez que vous acceptez les conditions d'utilisation, la politique de confidentialité et l'utilisation des cookies de Les Cinémas Aixois.