Drame (Iran). Avec Shahram Golchin, Mohamad Ali Keshavarz, Fakhri Khorvash.
Produit en 1976. Sortie le 18/08/2021. Distribué par Carlotta.

Synopsis

Suite à la mort de son épouse, Haji Amou, un commerçant traditionaliste, patriarcal et corrompu, projette de se débarrasser de sa belle-fille, héritière en titre de la fortune et de la belle maison luxueuse dans laquelle ils vivent…Cannes Classics. Inédit. Restauration 4K.

Bandes annonces et vidéos

Photos et affiches

Critiques des professionnels

  • critique-film

    Très intéressant sur le fond, L'échiquier du vent est aussi une très belle réussite esthétique, avec de magnifiques plans inspirés par la peinture.

  • Le bleu du miroir

    Film de pure mise en scène, L'échiquier du vent mérite amplement la seconde vie à laquelle sa splendide restauration le prépare.

  • France culture

    À travers le récit de cette lutte pour la richesse et le pouvoir,  Mohammad Reza Aslani livre une critique sociale et culturelle puissante, anticipant la révolution de 1979 et dessinant avec clairvoyance l’échec social et économique de l’Iran à travers ses personnages finement caractérisés et merveilleusement interprétés.

  • Le JDD

    Drôle de destin que celui de ce film iranien censuré, perdu puis retouvé plusieurs décennies plus tard par la fille de son réalisateur. C'est peu dire qu'il fait bien les choses : L'échiquier du vent est une pépite brillant d'une modernité surprenante.

  • Culturebox

    Les retrouvailles inespérées avec L'échiquier du vent comblent un grand vide dans la connaissance d'un cinéma iranien plein de surprises. Un joyau !

  • Libération

    Grand film de mise en scène, raffiné comme une enluminure persane – une esthétique que l’on pourrait en cela rapprocher du cinéma de Paradjanov –, l'échiquier du vent est un bijou dont la ciselure n’a d’égale que la noirceur retorse qui le traverse.

  • Le Monde

    Le cinéaste joue à merveille du nivellement des étages comme de l'enfilade des espaces pour décrire les rapports de méfiance entre les habitants, nourrissant une esthétique du soupçon et de la dissimulation.

  • La septième obsession

    La symétrie des cadres impressionnante, la direction artistique majestueuse servent un jeu de massacre diabolique, portrait de la déliquescence d'une bourgeoisie qui n'a plus que l'apparence de l'élégance.

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