

La bonne épouse
Réalisé par Martin Provost
Produit en 2019. Sortie le 11/03/2020. Distribué par Memento.
Synopsis
Tenir son foyer et se plier au devoir conjugal sans moufter : c’est ce qu’enseigne avec ardeur Paulette Van Der Beck dans son école ménagère. Ses certitudes vacillent quand elle se retrouve veuve et ruinée.
Critiques des professionnels
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Télérama
Le réalisateur de Séraphine signe une comédie euphorisante sur l'émancipation féminine, avec de grands numéros d'actrices.
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3 couleurs
Dénonçant sous une nouvelle forme notre société patriarcale, Martin Provost a concocté une comédie esthétiquement sophistiquée et loufoque portée par un trio désopilant.
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Première
Juliette Binoche confirme son talent sous-exploité pour la comédie. Elle entraîne dans son sillage la poétique Yolande Moreau et la fantasque Noémie Lvovsky.
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Le JDD
Entre légèreté et gravité, le réalisateur aborde frontalement des sujets comme l'identité et la sexualité, avec un petit grain de folie cathartique. Les actrices se lâchent avec jubilation.
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Version Femina
Ne manquez pas ce film au rythme soutenu, aux dialogues ciselés et jubilatoires, avec en prime une distribution de rêve.
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Positif
Reste que l’élan contagieux de La bonne épouse ne saurait être réduit à ces performances drôlissimes. Non, si le nouveau film de Martin Provost emballe autant, en définitive, c’est parce qu’il nous parle d’un (vieux) monde qui se fissure... pour le meilleur.
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avoir-alire.com
De situations cocasses en dialogues pétillants, La bonne épouse suit son cheminement de comédie mutine et gentiment désuète, que l’évocation des célébrités du moment (d’Adamo à Anne-Marie Peysson, en passant par Joe Dassin, Ménie Grégoire ou Guy Lux) enrichit d’une tendre nostalgie.
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20 minutes
Cette comédie remonte le moral tout en défendant la cause des femmes.
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Bande à Part
Une comédie hybride énergisante, dont la fantaisie apparente cache la noirceur en profondeur.