

Produit en 2017. Sortie le 08/11/2017. Distribué par UGC Distribution.
Synopsis
A bientôt cinquante ans, Simon, violoniste émérite et désabusé, échoue dans une classe-orchestre parisienne où ses méthodes rigides rendent difficile l’enseignement de la musique aux élèves de la classe de 6e...
Critiques des professionnels
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Rachid Hami, réalisateur
Il n’est pas seulement question de cinéma et de faits de société. Il y a dans La Mélodie le désir de mettre en images et en paroles une foi dans la vie et dans l’art face aux déterminismes (misère, violence, abandon, cynisme, etc.) dont chacun cherche à s’échapper et l’envie d’approcher au plus près les désillusions de la vie pour mieux dire les motifs d’espérance.
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Dossier de presse
Lorsque le projet en était à ses débuts, Rachid Hami s'est intéressé aux classes orchestres, chapeautées par l’Education Nationale. De Gennevilliers à Paris en passant par Asnières, le réalisateur a commencé à nouer des liens avec ces enfants jusqu'à ce que l'histoire du film prenne forme dans sa tête. Un garçon qui jouait du violon rencontré à Belleville lui a d'ailleurs inspiré le personnage d’Arnold.
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Femina
Sur une idée classique, Rachid Hami et ses scénaristes tissent une histoire encourageante de compréhension et d'apprentissage mutuels. Sans grande surprise, mais traversé de jolis moments.
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Télérama
Le réalisateur parvient, grâce à sa mise en scène limpide et discrète, à convaincre que la musique adoucit les mœurs et peut éclairer les visages les plus butés.
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La Voix du Nord.
Le naturel éblouissant des jeunes acteurs, l’honnêteté du metteur en scène et le jeu mesuré des acteurs principaux incitent à considérer avec indulgence cette brave incursion dans le cinéma pédagogique et pacifique.
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Le Dauphiné libéré.
Reprenant la trame d’un film brésilien et l’adaptant au contexte français des quartiers défavorisés, un film porté par une vision résolument optimiste, qui a le bon goût de ne pas trop faire vibrer la corde sensible.
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Le Figaro.
Ce premier film s'en sort grâce à la force de ses interprètes, le jeune Renély Alfred en tête.
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Le Parisien.
On se laisse finalement toucher par cette histoire pleine de tendresse.
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Fiches du cinéma.
Le réalisateur parvient, malgré les clichés, à mettre en scène la magie de la musique classique. Bruno Coulais n'y est pas pour rien.
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La Croix
Bienveillant et humaniste, ce premier film, sur un professeur de violon confronté à des élèves de quartiers défavorisés, fait vibrer les cordes sensibles.