Drame (France). Avec Finnegan Oldfield, Grégory Gadebois, Jules Porier, Charles Berling, Vincent Macaigne, Catherine Mouchet, Isabelle Huppert.
Produit en 2017. Sortie le 22/11/2017. Distribué par Mars Distribution.
Produit en 2017. Sortie le 22/11/2017. Distribué par Mars Distribution.
Synopsis
Martin Clément, né Marvin Bijou, a fui son petit village des Vosges. Il a fui sa famille, la tyrannie de son père, la résignation de sa mère. Il a fui l’intolérance et le rejet, les brimades auxquelles l’exposait tout ce qui faisait de lui un garçon "différent". Envers et contre tout, il s’est quand même trouvé des alliés... Festival de Venise.
Bandes annonces et vidéos
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bande annonce
Photos et affiches
Critiques des professionnels
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Cineuropa
Grâce à un montage très sophistiqué, la réalisatrice tisse très adroitement un récit où les interprètes livrent tous de très belles performances. Et si l'histoire de ce "vilain petit canard" et de ses "bonnes fées" peut sembler à certains un peu trop romanesque, le parfum de mélancolie qu'injecte la cinéaste offre à Marvin un cachet de vérité qui en fait un film maîtrisé et touchant.
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avoir-alire.com
Anne Fontaine brosse le portrait subtil d’une quête d’identité et propose une réflexion pertinente sur le travail du comédien. Le film séduit par ce mélange de sobriété et de lyrisme contenu, fuyant le naturalisme autant que la surenchère visuelle, avec une belle structure narrative sur deux niveaux.
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Abus de ciné
Emmené par Finnegan Oldfield (Les cowboys, Nocturama) formidable dans le rôle principal, un film sensible dans lequel Grégory Gadebois fait des étincelles.
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Studio Ciné Live
On retrouve ici l'ambiguïté de son Nettoyage à sec. Et on découvre le talent d'Anne Fontaine à portraiturer la France des déclassés comme celle de l'intelligentsia. Sans caricaturer, sans enfoncer les uns pour faire briller les autres. Avec une subtilité qu'on retrouve chez l'ensemble de ses interprètes.
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Le courrier de l'art et essai
Librement inspiré du best-seller En finir avec Eddy Bellegueule, Anne Fontaine et son scénariste, Pierre Trividic, ont fait le choix de se détacher du roman. Grâce à une belle structure narrative sur deux niveaux, le film développe une force indéniable.
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Le JDD
Ce film s'empare du roman autobiographique d'Eddie Louis pour en faire autre chose, une suite imaginaire. Une trahison audacieuse avec de beaux comédiens.
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Télérama
Une balade fiévreuse et un conte moral troublant et touchant.
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Le canard enchaîné
Le film d'Anne Fontaine est sombre, mais il murmure aussi la clarté.
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Le Monde
C'est le portrait fragmenté et constamment émouvant d'un jeune homme qui réussit à passer le miroir. La métamorphose de Marvin est contagieuse et le cinéma d'Anne Fontaine devient plus intime, plus personnel.
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L'Obs.
Le scénario a des idées habiles et l'énergie des acteurs fait échapper l'ensemble au folklore misérabiliste.