Comedie dramatique (Suède, Etats-Unis). Avec Sofia Kappel, Kendra Spade, Dana DeArmond.
Produit en 2019. Sortie le 20/10/2021. Distribué par Les Bookmakers.

Synopsis

Une jeune Suédoise de 20 ans arrive à Los Angeles dans le but de faire carrière dans l’industrie du porno. Sa détermination et son ambition la propulsent au sommet d’un monde où le plaisir cède vite la place au risque et à la toxicité. Festivals de Cannes et Sundance 2020. Prix du jury, festival de Deauville.

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Critiques des professionnels

  • Première

    Pleasure démonte avec précision, sans aucun trémolo ni incartade mélo, les rouages d'un système montré comme patriarcal et ultra-libéral. C'est un film qui tord le bide, tout sauf une partie de plaisir.

  • Positif

    Pleasure est un film puissant et mélancolique qui porte un regard lucide sur un monde sexiste et macho où les rêves ne peuvent que se briser.

  • Les Inrockuptibles

    A l'inverse du brûlot de Paul Verhoeven (Showgirls), Pleasure nous montre que le porno n'est que le miroir du monde extérieur, celui du capitalisme jamais assouvi et d'un patriarcat redoutablement normalisé. Malgré un ton rugueux et acerbe, le film maintient à l'image une douceur enfantine et un regard profondément empathique pour celles et ceux qui sont filmé-es.

  • Teaser

    Plus que potentielle critique du X, Pleasure se fait surtout chronique d'un milieu et étude de personnage, brillamment écrit et interprété.

  • 3 couleurs

    Le film parvient à être pédago, captivant et contrasté.

  • Le JDD

    Ce fut l'électrochoc du dernier festival de Deauville. Il a fallu six ans à la réalisatrice suédoise pour concrétiser son idée audacieuse qui tient du documentaire immersif : jeter un regard sans concession sur ce monde impitoyable. 

  • Le canard enchaîné

    Un fil choc, mais libérateur à plus d'un titre. Pour son tout premier rôle, Sofia Kappel y révèle une présense étonnante, entourée de vrais acteurs et pros du X.

  • Le Monde

    Sous son récit de conquête, Pleasure couve un objet théorique passionnant : Thyberg, qui a enquêté pendant des années, use de l'image cinématographique comme d'un outil pour réfléchir à l'image pornographique. 

  • Télérama

    Film choc et nécessaire, visible à partir de 16 ans, Pleasure, à l’image de l’antiphrase de son titre, questionne, sans fausse pudeur, la fascination et la répulsion provoquées par le porno, de part et d’autre de la caméra, dans le sillage de la révolution #MeToo.

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