L'alchimie fonctionne à fond entre le jeu subtil d'Omar Sy et le talent tragi-comique de Charlotte Gainsbourg, très aiguisée.Les personnages secondaires, parfaits, d'Izia Higelin, en étudiante grande gueule, à Youngar Fall, bouleversant dans le rôle de l'oncle de Samba.

Le film incontournable de la rentrée.

Une comédie alerte, engagée et responsable.

Un ton à la fois humaniste et léger juste comme il faut. Omar Sy, une fois de plus grandiose. Charlotte Gainsbourg, parfaite . (...) Délicatesse et sensibilité se sont données rendez-vous ici.

Les auteurs du hit Intouchables récidivent avec un feel-good movie plus retors qu'il n'y paraît. (...) On pourrait discuter de cette morale individualiste et cynique, mais la mise à nu de ses rouages, l’audace d’assumer une part d’obscurité au cœur d’un feel-good movie populaire constitue une vraie surprise.

A la touchante renaissance de Charlotte Gainsbourg dans un personnage fracassé et bancal fait écho la candeur d'Omar Sy, brillant de tous les feux de sa personnalité. Un tandem détonant pour faire la séduction d'une comédie qui nous embarque.

Samba regorge de charmes, de drôleries et de moments dramatiques intenses.

Les auteurs d'Intouchables négocient un virage plus grave avec une élégance rare.

Un scénario bien construit, une réalisation rythmée et des dialogues savoureux : les réalisateurs trouvent le juste équilibre.

Le duo Toledano-Nakache réussit une parfaite comédie sociale, portée par un casting au départ improbable et, au final, évident.

Samba vibre d'une humanité généreuse et sans pathos, emballé par des scènes drôles ou émouvantes, des acteurs impeccables jusqu'aux seconds rôles.

Sans abandonner la comédie, Toledano et Nakache adoptent un ton plus dramatique et offrent un film populaire plein de finesse et d'humanité.

Les qualités d'écriture et de mise en scène devraient lui offrir un beau succès populaire.

Après Intouchables, le tandem Nakache-Toledano signe un film moins virtuose mais tout aussi généreux.

Samba, entre humour et émotion, parle de la tolérance et du partage. Un film dont on sort éblouis, qui rend heureux.

Le film se veut une plongée dans la France des défavorisés, et traite des problèmes sociaux sans démagogie ni voyeurisme. A une époque, où, en France on nous rabâche à longueur de journées que l’Autre est un danger, qu’il convient de s’isoler, comme il est bon de voir un film qui prône le partage, la solidarité, le brassage des cultures, le métissage et la tolérance. En le faisant non pas de manière pédagogique mais par des artistes qui ne démontrent pas mais qui montrent et qui par la force du romanesque donnent naissance à des personnages vrais, anti-héros auxquels on peut s’identifier.