La famille Addams
- VF
- 3D
Réalisé par David Yates
Titre original : The Legend of Tarzan
Après avoir grandi dans la jungle africaine, Tarzan a renoué avec ses origines aristocratiques. Il mène une vie paisible auprès de son épouse Jane jusqu'au jour où il est convié au Congo... D'après l'œuvre d'Edgar Rice Burroughs.
Que ce soit au cinéma ou à la télévision, le personnage mythique de Tarzan créé par Edgar Rice Burroughs en 1912 dans le roman Tarzan seigneur de la jungle a déjà donné lieu à de nombreuses adaptations et a été campé par de nombreux interprètes. Parmi ces derniers, nous pouvons compter Kellan Lutz (Tarzan, 2013), Casper Van Dien (Tarzan et la cité perdue, 1998), Wolf Larson (Tarzán, 1991 - 1994), Christophe Lambert (Greystoke, la légende de Tarzan, 1984) ou encore Johnny Weissmuller (Tarzan, l'homme singe en 1932, suivi de plusieurs films consacrés au personnage dans les 1930 et 1940).
Yates a réussi son pari : du bon cinéma d'aventures.
Trente ans après Greystoke, la légende de la jungle d’Hugh Hudson qui révélait Christophe Lambert et Andie McDowell, et 15 ans après l’adaptation d’Edgar Rice Burroughs par Disney dans l’animation, Warner reprend le mythe de Tarzan à sa source.
David Yates revisite le mythe de l'homme-singe dans un film d'aventures trépidant.
Ce film d'aventures mêle efficacement action, humour et émotion.
Bien qu'inégale, cette remise à jour du mythe de Tarzan attise la curiosité par ses enjeux géopolitiques et historiques.
Cette aventure pour tous publics, pleine de rythme et d’émotion, mise à la fois sur la nostalgie et le désir de moderniser Tarzan, notamment au niveau des scènes d’action.
Tarzan connaît, sous l’égide de David Yates, des aventures rondement menées et plutôt élégamment pensées visuellement parlant.
Énième version des aventures du personnage mythique, transformé ici en superhéros mis à l’épreuve des effets numériques et du grand spectacle high-tech. Il s’en sort pas mal.
Tumultueux, romantique, ce nouveau Tarzan bénéficie de la beauté de Margot Tobbie et de la verve de Samuel L. Jackson. Mais il y a surtout l'incroyable Alexander Skarsgard, aussi convaincant dans la partie africaine, où il affiche un physique taillé pour le rôle, que dans la haute société victorienne en costume trois-pièces.
Un divertissement estival efficace.
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