Drame (Royaume-Uni). Avec David Hockney, Peter Schlesinger, Mo Mac Dermott.
Produit en 1973. Distribué par Les films du Camélia.

Synopsis

À travers un fascinant mélange de fiction et de documentaire, A Bigger Splash nous emmène dans l'univers du peintre anglais David Hockney et révèle les liens qu'entretiennent la vie et la création. Semaine de la Critique à Cannes 1974, Léopard d'argent au Festival de Locarno. Film restauré en 4K.

Information spectateur

Visitez l'exposition David Hockney, collection de la Tate, jusqu’au 28 mai 2023 au Musée Granet.

Bandes annonces et vidéos

Photos et affiches

Critiques des professionnels

  • Le Monde

    L'éblouissant film-culte de Jack Hazan ressort en salle restauré. Il délaisse la narration classique pour finir par ressembler à l'un des tableaux du peintre britannique.

  • avoir-alire

    Beau film, entier, périlleux, sur le fil, qui doit au jusqu’au-boutisme de Hazan et à la grâce magnétique de Hockney lui-même dépassé dans son excentricité.

  • Chaos reign

    Cette réflexion sur l'art qui ne privilégie pas la bienséance au détriment de la vérité propose un voyage parfaitement exaltant.

  • Télérama

    C'était en 1974, bien avant la mode des biopics qui prolifèrent aujourd'hui. A bigger splash  innovait doublement : c'est le peintre peroxydé qui joue son propre rôle, comme tous les autres protagonistes - une audace sans précédent. Et au lieu de raconter tout l'itinéraire de l'artiste, le film se concentre sur un épisode emblématique de quelques années. Aujourd'hui, c'est la composition ultratenue du récit qui étonne, tout en ellipses feutrées, en sous-entendus mystérieux, en associations oniriques.

  • Les Inrockuptibles

    Comme chez Antonioni, la modernité toujours actuelle de A Bigger Splash tient à son travail du documentaire par la fiction. Le son souvent postsynchronisé, le choix du cadre qui insiste sur les gros plans de visages, des voix off qui deviennent in, une bande musicale qui emprunte plus à l’opéra classique qu’à la musique pop, l’écriture des dialogues faussement improvisés et surtout le montage : un enchaînement qui juxtapose jusqu’au trouble optique le filmage en plan fixe d’un tableau d’Hockney (portrait d’ami·e ou d’amant) et sa soudaine animation par l’irruption des personnes ayant servi de modèles.

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