Reposant sur un scénario brillant, c'est une belle surprise, une œuvre grandement autobiographique par laquelle son auteur affirme sa voix, entre tendresse et poésie loufoque. 

Un bijou de fantaisie, une hilarante comédie familiale, sentimentale et policière. Le quatrième long métrage derrière la caméra de Louis Garrel séduit avec un casting attachant, au plus juste des sentiments. C'est la comédie de l'automne. 

L'Innocent évoque (chose rarement réussie en France) la grande comédie italienne façon Risi ou Monicelli, dont on retrouve le ton à la fois grinçant, trivial et sentimental.

L'innocent est un film irrésistible d'espièglerie, d'intelligence et de classe, à la mise en scène enlevée et au casting épatant.

Un film désopilant, généreux et intelligent.

Dans le registre très balisé de l'humour à la française, on n'a rien vu cette année qui arrive à la cheville de cette comédie furieusement divertissante, constamment originale et, surtout, magnifiquement attentive à ses personnages.

L'acteur-réalisateur réussit une comédie policière étincelante, aussi drôle qu'intime.

Là où L'innocent réjouit le plus, c'est dans son casting 4 étoiles, Roschdy Zem et Noémie Merlant brillent de mille feux, sans oublier la sublime Anouk Grinberg. Sublime, elle ajoute une dose d'émotion à cette joyeuse et sémillante galéjade.

Les péripéties s'enchaînent avec une fantaisie, une émotion et un humour virevoltants.

Sous de faux airs de série B italienne, Louis Garrel livre sa comédie la plus aboutie en tant que cinéaste. Coécrit avec l'auteur de polars décalés Tanguy Viel, son scénario, drôle et précis de bout en bout, dynamite les stéréotypes, mêle le tragique à l'action en passant par la romance, et réserve bien des surprises. 

Vif, tendre, burlesque et mélancolique, L'innocent procure beaucoup de plaisir.

Le film bénéficie d'un casting formidable et de dialogues étincelants.

Une comédie burlesque et attachante inspirée de ses souvenirs d'enfance.

Une comédie drôle, intelligente et sophistiquée.