La tresse
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2h00
Tout public
Dernière Semaine
La grande bouffe
Réalisé par Marco Ferreri
- VF
2h05
Avertissement
Sortie le 24/05/2023
Le 5 décembre 2023
Il y a 50 ans, La grande bouffe de Marco Ferreri faisait scandale au Festival de Cannes. Violemment contesté par une partie de la critique et des spectateurs, et défendu de manière tout aussi virulente par d'autres, il remporta finalement le Prix de la critique internationale.
Redécouvrez en version restaurée 4K ce chef-d’œuvre controversé du cinéaste italien, lors d'une soirée anniversaire en présence de la comédienne Andréa Ferréol, au Cezanne mardi 5 décembre à 19h30.
Comedie dramatique (Italie, France). Avec Marcello Mastroianni, Andréa Ferréol, Ugo Tognazzi, Michel Piccoli, Philippe Noiret.
Produit en 1973. Sortie le 24/05/2023. Distribué par Tamasa.
Produit en 1973. Sortie le 24/05/2023. Distribué par Tamasa.
Synopsis
Quatre hommes, quatre quadragénaires issus de milieux sociaux différents (Marcello pilote d’avion, Ugo restaurateur, Michel animateur radio et Philippe juge), décident de se réunir dans la "bouffe", la "baise", l’amitié et la mort... Prix de la critique internationale, Festival de Cannes 1973. Restauré en 4K.
Bandes annonces et vidéos
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bande annonce
Photos et affiches
Critiques des professionnels
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Télérama
La grande bouffe est une agression salutaire, l'envers hirsute et chaotique du cinéma traditionnel. Plus que l'obscénité provocatrice des images, c'est la violence morbide du propos qui réveille et bouleverse.
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Critikat
Ce film provoqua un vrai scandale à sa sortie en 1973. Ferreri heurte une nouvelle fois la morale bourgeoise en dépeignant ses vices, sa décadence.
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Le Monde
Le film a choqué, en ces années de pompidolisme finissant, pour son réalisme, pour la crudité de sa description. Plutôt qu'une critique de la société de consommation, le film est une méditation sur l'homme moderne, que la civilisation a rendu trop conscient de ses propres plaisirs, qui les a épuisés et qui, dès lors, ne peut plus véritablement accéder à la véritable jouissance, et en meurt.
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L’Obs ( Jean-Louis Bory )
C'est le spectacle à la fois répugnant et magistral de la consommation, de la pollution. L'image la plus exacte de ce que représentent les nations dites "civilisées". Des nations repues, gavées qui provoquent des déchets et nous serons tués par ces déchets.
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La revue du cinéma
L'intrigue et le portrait des personnages méritent les éloges, au même titre que les dialogues de Francis Blanche ou le choix des décors.