Le fabuleux destin d'Amélie Poulain
- VF
Réalisé par Jean-Jacques Annaud
En l’an 1327, dans une abbaye bénédictine, des moines disparaissent. Un franciscain, Guillaume de Baskerville, aidé du jeune novice Adso von Melk, mènent l’enquête. C’est l’époque ou l’Eglise, en pleine crise, se voit disputer son pouvoir spirituel et temporel. C’est aussi l’apogée de l’inquisition. César du meilleur film étranger. Restauré en 4K.
Ce quatrième long métrage de Jean-Jacques Annaud est une fresque à grand spectacle plutôt réussie.
Adapter à l'écran Le nom de la rose, c'est faire preuve d'une bonne dose d'humilité. Le film ne s'est pas flétri en 40 ans.
Un festival de gueules cassées, une bibliothèque-labyrinthe, un livre qui tue : du grand ciné populaire, malin et décomplexé.
Apôtre du divertissement cultivé, Jean-Jacques Annaud a eu la bonne idée d’évacuer les citations érudites du livre d’Umberto Eco pour signer un polar médiéval.
Les décors sont magnifiques, sublimés par la photographie de Tonino Delli Colli. La musique de James Horner accompagne parfaitement le film par son mysticisme angoissant, mais sachant se faire aussi plus lyrique. Côté casting, si Annaud ne voulait au départ pas d’un acteur connu, il cède finalement devant l’insistance de Sean Connery et son charisme indéniable. L’acteur offre un jeu très subtil. Presque 40 ans après sa sortie, Le nom de la rose reste un grand film populaire qu’on prend grand plaisir à redécouvrir.
Longtemps invisible, le film se révèle plus actuel et pertinent que jamais.
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