Plus qu’un film judiciaire, Le procès Goldman est non seulement une leçon brillante de mise en scène, mais un témoignage historique profond à méditer.

Le procès Goldman est captivant, passionnant, à plus d’un titre. Comme lecture de cette période bouillonnante, des débats agitant le militantisme d’alors, de ses espoirs, dérives et trahisons. Et comme chambre d’écho saisissante du présent, sur les méfaits de la police, le racisme, l’antisémitisme, la société du spectacle. 

Cédric Kahn signe un huis-clos passionnant, miroir de son époque. Un film de procès dépouillé de tout artifice autour d´une personnalité exceptionnellement complexe.

Un huis clos minutieux et explosif.

Un film époustouflant. Grâce à un travail exceptionnel sur l'image et le montage, le film devient la trace mémorielle d'audiences qu'aucune caméra n'avait enregistrées. Brillant.

Le film est passionnant et captivant, comme lecture de cette période bouillonnante.

Cédric Kahn se soucie peu de chercher un relais du spectateur dans l'auditoire et de disculper Goldman. Par le détour d'une oralité comprimée jusqu'à l'implosion et sanglée dans le cadre de la procédure, il met en scène la naissance et la mort d'un écrivain.

Cédric Kahn réinvente le film de procès pour un huis clos stratosphérique.

Un film de procès magistral.

Du grand cinéma porté par l'excellent Arieh Worthalter.

Un huis clos rigoureux et captivant.

Cette remarquable reconstitution du procès dévoile les ambiguïtés, les contradictions de Goldman et donne voix à chaque cmap. 

Une captviante reconstitution de prétoire, sans trancher sur la culpabilité de l'accusé.