La tresse
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Réalisé par Thomas Cailley
Dans un monde en proie à une vague de mutations qui transforment peu à peu certains humains en animaux, François fait tout pour sauver sa femme, touchée par ce phénomène mystérieux… Un Certain Regard, Festival de Cannes.
Fusion inédite de genres, du fantastique au teen movie, le film de Thomas Cailley propose un équilibre détonnant.
Une passionnante appropriation du fantastique par le cinéma français. L'impact émotionnel prime. Ce qui n'exclut ni le sens du spectacle ni un travail fou sur les effets spéciaux qui ajoutent à la dimension immersive de cette belle réussite.
Voilà bien un film troublant, digne d'égards et méritant qu'on s'y précipite. Après Les combattants, Thomas Cailley s'aventure sur un terrain fantastique. Film de genre aussi captivant qu'émouvant, Le règne animal réussit une hybridation parfaite entre le teen-movie et une dystopie intelligente.
Enorme ambition, énorme résultat : Le règne animal impressionne, touche au coeur et flatte la rétine. Du cinéma qui n'a peur de rien.
Réflexion sur le vivre-ensemble, plaidoyer subtil pour le respect du vivant et récit d'apprentissage, cette proposition de cinéma épate. Un sans-faute rare.
Thriller sociologique, fable fantastique, teen movie... A la croisée de différents genres, le réalisateur des Combattants impressionne par sa puissance émotionnelle et ses acteurs exceptionnels.
Un film exceptionnel, qui est aussi un vaste conte politique.
Dans ce merveilleux ouvrage, il y a quelque chose de très juste qui se dit sur la pudeur d'un jeune homme.
Les décors sont étonnants, les maquillages et effets spéciaux font rêver. Paul Kircher porte le film sur ses paules face à un Romain Duris charismatique, Adèle Exarchopoulos, impeccable et Tom Mercier sidérant. Un film qui brille par son étrangeté presque poétique.
Les effets spéciaux du Règne animal sont totalement bluffants et ces créatures impressionnantes de réalisme. Mais ce qui fait de ce long-métrage, très souvent drôle et bouleversant, un film époustouflant, c’est la profondeur des questions qu’il soulève.
Thomas Cailley dirige Romain Duris dans un film de genre qui dynamite les conventions. Cette fiction ambitieuse sur les mutations, l'exclusion et les rapports père-fils s'impose comme la plus belle surprise de l'automne.
Le règne animal a tout du grand film d'auteur populaire : un sujet fort, des images d'une beauté renversante, un casting impeccable.
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