Évidemment transgressif, le film capture un amour interdit sans jamais questionner l’âge de ses deux personnages.

Catherine Breillat retrouve l’inspiration avec un sujet délicat qu’elle traite avec finesse,dévoilant un sens de la nuance dans la caractérisation des personnages. Encore un grand rôle pour Léa Drucker.

Choisir Léa Drucker dans un rôle maternel ambivalent à souhait, milf et monstre à la fois, est une trouvaille jubilatoire.

Naviguant avec une finesse remarquable dans les nuances et les contrastes, Catherine Breillat dessine un portrait de femme à la fois sensoriel et clinique.

Un sujet aussi malaisant que passionnant à explorer.

D'une sensualité solaire, la comédie de moeurs cache en réalité une tragédie.

La cinéaste fait preuve d'une remarquable subtilité pour distiller le malaise, sans doute grâce a une mise en scène de la précision chirurgicale pour saisir les non-dits.

Lea Drucker impressionne en femme égoïste, autoritaire et brillante.

Moins frontal que ses autres films, L'été dernier se fait plus délicieusement pervers. Léa Drucker est extraordinaire.

L'été dernier galvanise et dérange, sans cesser d'échapper à toute vérité figée. Le film tient en haleine comme un film à suspense.

Un film beau et profond comme une toile de maître.

Dix ans après Abus de faiblesse, c'est le grand retour de Catherine Breillat. Une suite de face-à-face époustouflants d'où ressort une Léa Drucker en état de grâce.