Red Rocket
- VO
Réalisé par Martin Bourboulon
Louvre au Palais de Buckingham, des bas-fonds de Paris au siège de La Rochelle… dans un Royaume divisé par les guerres de religion et menacé d’invasion par l’Angleterre, une poignée d’hommes et de femmes vont croiser leurs épées et lier leur destin à celui de la France. D'après Alexandre Dumas.
Les Trois Mousquetaires - Milady est le second volet du diptyque réalisé par Martin Bourboulon, suite du film Les Trois Mousquetaires - D'Artagnan. © Ben King
Dotée d'un très confortable budget, cette adaptation en deux parties de l'œuvre de Dumas a mis les petits plats dans les grands : 150 jours de tournage, des scènes au cœur de nombreux monuments du patrimoine français, une production soignée ou encore un casting de stars.
Dans ce second volet, Martin Bourboulon nourrit d'audace son intrigue échevelée. La Milady du titre est fantastique, entre volupté sexy, violence aveugle et duplicité calculée. L'esthétisme est plus lumineux, plus riche et flamboyant.
Milady réussit à surprendre, voire à impressionner par son écriture et les thématiques traitées. Un film de très belle facture.
Dans la continuité de son précédent opus, Les Trois Mousquetaires : Milady nous offre encore un très bon film de cape et d’épée. Les décors sont somptueux comme le précédent opus et rien à dire côté costumes. L’immersion est totale dans cette France du 17ème siècle.
Madeleine de Proust pour qui a grandi avec les films de cape et d'épée, ce divertissement de haute qualité, modernisé sans excès et rehaussé par l'alchimie de son casting, ravira les plus jeunes comme leurs aînés.
Les trois mousquetaires sont de retour au cinéma, pour le second volet, Milady porté par Eva Green dans le rôle de la meilleure ennemie de d'Artagnan, Athos, Portos et Aramis.
Entre les séquences de combat, les joutes verbales entre les personnages et quelques notes d’humour, on ne s’ennuie pas une seconde dans ces Trois mousquetaires incroyablement modernes.
Un divertissement qui reste de très bonne facture, parfait pour les fêtes de fin d’année.
La continuité entre les deux films fonctionne d’un seul homme et Martin Bourboulon renouvelle, à l’image, le romanesque d’un texte impérissable.
On retrouve une dramaturgie qui met l’accent sur les rebondissements aussi bien historiques que sentimentaux, une mise en scène élégante et sombre qui ne laisse pas de temps mort, les scènes d’assaut sur les remparts en mettent plein les yeux.
Du grand spectacle à la française.
Une formidable épopée de cape et d’épée.
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