Ce nouvel Alien, au scénario assez classique, imagine un nouveau duo de héros assez convaincant, aux prises avec des créatures toujours plus terrifiantes.

Alien : Romulus trouve sa singularité auprès d’une jeunesse touchante, symbole d’une génération sacrifiée. L’occasion pour Fede Alvarez de signer un exercice de style politique et méchant, dont la mise en place brillante s’impose parmi les sommets de la saga.

Un efficace retour aux sources. Fede Álvarez célèbre et renouvelle avec générosité la mémoire collective de la saga culte. De quoi réenchanter les fans du plus célèbre des xénomorphes.

Un jeu de massacre spatial aux airs de SF juvénile. Confié à l’Uruguayen Fede Alvarez, le nouvel opus de la saga ouverte par Ridley Scott ménage de beaux moments de mise en scène.

Un film qui ne laisse rien de côté, ni son environnement ni ses personnages. Technique et artistique sont convoqués pour faire de ce métrage un opus qui peut regarder ses aînés dans les yeux sans rougir.