Invincible partait peut être avec une longueur de retard. Sauf que depuis, nous avons appris à connaître sa tête d’affiche : l’incroyable Jack O’Connell. Celui même qui a crevé l’écran en 2014 en livrant des prestations d’une intensité exceptionnelle à l’intérieur de deux films britanniques tout bonnement remarquables : ’71 et Les poings contre les murs. (...) Autre atout non négligeable à mettre au crédit d’Invincible, son scénario final, l'adaptation du roman Flight from Berlin, écrit par David John, n’est autre que l’œuvre des frères Cohen dont le talent d’écriture a fait ses preuves.

Hommage au courage et à la force intérieure, cette fresque hollywoodienne efficace (les attaques aériennes sont époustouflantes) explore trois genre de cinéma : film d'apprentissage façon Rocky ; film de survie; film de guerre. L'ambition du propos à elle seule mérite le détour.

Ce biopic, de facture classique, repose sur la puissance de son histoire. La mise en scène est entièrement au service de cette leçon de courage, interprétée par le surdoué Jack O'Connell.

Le film emporte du début à la fin, par l'ampleur de sa mise en scène et la prestance de ses acteurs. Le résultat est à la hauteur des espérances : irrésistible.

Le film fait un sans-faute et fascine par son histoire autant que par l'interprétation du jeune Jack O'Connell.

Un récit exaltant le courage, porté par le souffle puissant de l’aventure.

Angelina Jolie réussit haut la main son second passage derrière la caméra.

Une épopée incroyable sur un destin qui l'est tout autant. Au-delà du simple biopic, Invincible se révèle émouvant et redoutablement puissant.

Un hommage sincère et percutant.